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Perspectives d’emploi et débouchés pour les diplômés du baccalauréat en génie mécanique.
L’ingénieur en génie mécanique conçoit et organise la fabrication et l’entretien de systèmes mécaniques, thermiques et de production industrielle.
Cette forte demande s’explique par le large champ d’application du génie mécanique. Les diplômés peuvent travailler dans n’importe quel type d’industrie. Leur formation va de la nanotechnologie à l’industrie lourde.
Par exemple, les industries du plastique, de l’emballage, du caoutchouc ou encore de l’aéronautique sont des secteurs très dynamiques qui ont besoin d’ingénieurs en génie mécanique.
Profil recherché
Pendant la formation, de longs projets de conception, comme la création d’un avion ou d’une voiture électrique, leur permettent d’appliquer leurs connaissances et de gérer leur part du travail de A à Z.
En entreprise, les projets sont de plus en plus multidisciplinaires : les ingénieurs collaborent notamment avec des architectes et des technologues. Les étudiants doivent être de bons joueurs d’équipe, savoir communiquer et adapter leur discours à chaque interlocuteur.
Perspectives
Depuis quelques années, les accusations de corruption ont une incidence sur la profession. «Les étudiants sont particulièrement concernés par l’aspect éthique de la profession. La sensibilité environnementale fait également sa marque.
Pour rester dans le coup, l’ingénieur doit garder ses connaissances à jour tout au long de sa carrière. L’Ordre des ingénieurs du Québec impose maintenant 30 heures de formation continue par année, notamment en informatique.
De belles possibilités d’avancement s’offrent aux ingénieurs en génie mécanique, qui peuvent devenir consultants, gestionnaires de projet, chefs de département ou directeurs d’entreprise.
Il faut être membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec pour porter le titre d’ingénieur.
Plus d’information
Statistiques
Comment interpréter l’information
Nombre de diplômés : | 764 |
Diplômés en emploi : | 82,2 % |
À temps plein : | 98,3 % |
En rapport avec la formation : | 84,3 % |
Aux études : | 13,7 % |
Taux de chômage : | 3,6 % |
Salaire hebdomadaire moyen : | 1 085 $ |
Source : La Relance à l’université – 2013