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En emploi : 89.3%
Emploi à temps plein lié à la formation :87.1%
Emploi à temps plein en lien avec la formation : 92.2%
Taux de chômage : 0%
Salaire horaire médian : Non publié
Perspectives d’emploi 2015-2019 : Restreintes à Acceptables
Emplois dans le secteur
Grâce à l’obtention du DEP Travail sylvicole, les diplômés peuvent faire carrière dans le secteur de la foresterie comme travailleurs ou ouvriers sylvicoles spécialisés en reboisement et en entretien de peuplements forestiers et comme débroussailleurs ou manœuvres de l’exploitation forestière.
Ce programme d’études professionnelles de 900 heures leur apprendra notamment à reboiser, à dégager des plantations, à élaguer et à préparer les terrains, et ce, dans le respect des normes relatives à l’environnement dans des forêts publiques ou privées.
Sur le marché du travail, les diplômés œuvrent généralement au sein de compagnies d’exploitation forestière ou d’organismes gouvernementaux. Ils peuvent également être engagés par des entrepreneurs du domaine forestier.
Professions visées
- Manoeuvres de l’exploitation forestière (8616)
- Ouvriers/ouvrières en sylviculture et en exploitation forestière (8422)
Profil recherché
Les travailleurs sylvicoles doivent être en excellente santé (force, endurance, condition physique, etc.) pour attirer l’attention des employeurs potentiels. De fait, ils doivent être en mesure de travailler en plein air dans des positions ou des conditions parfois difficiles. Une bonne dextérité manuelle est nécessaire afin de manipuler divers outils de façon sécuritaire et d’effectuer des tâches qui requièrent minutie et précision.
En plus de leur intérêt pour l’environnement, leur sens de l’observation, leur sens des responsabilités ainsi que leur facilité à travailler en équipe constituent des atouts majeurs pour l’un ou l’autre des métiers de ce secteur d’activité.
Perspectives
Les diplômés du DEP en travail sylvicole peuvent obtenir un emploi assez aisément si l’on se fie aux plus récentes données de l’Enquête Relance du ministère de l’Éducation. Leur taux d’emploi de 89,3 % et leur taux de chômage inexistant, et ce, malgré l’aspect saisonnier de leur travail, représentent des indices favorables.
Selon Emploi-Québec, les perspectives d’emploi sont acceptables dans plusieurs régions de la province pour les ouvriers en sylviculture et en exploitation forestière. Cependant, ces mêmes perspectives sont restreintes en Mauricie, en Abitibi-Témiscamingue et en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.
Liste des établissements
Abitibi-Témiscamingue – Commission scolaire Harricana – Centre de formation Harricana
Bas-Saint-Laurent – Commission scolaire des Monts-et-Marées – C.F.P. en foresterie de l’Est-du-Québec
Bas-Saint-Laurent – Commission scolaire du Fleuve-et-des-Lacs – CFP du Fleuve-et-des-Lacs
Capitale Nationale – Commission scolaire de la Capitale – École de foresterie de Duchesnay
Côte-Nord – Commission scolaire de l’Estuaire – C.F.P. de Forestville
Estrie – Commission scolaire des Hauts-Cantons – CFP le Granit
Laurentides – Commission scolaire Pierre-Neveu – CFP Mont-Laurier
Saguenay – Lac-Saint-Jean – Commission scolaire du Pays-des-Bleuets – CFP Dolbeau-Mistassini