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En emploi : 65% (35% poursuivent leurs études)
Emploi en lien avec la formation : 89.5%
Taux de chômage : 0%
Perspectives d’emploi 2015-2019 : Acceptables – Favorables
Emplois dans le secteur
La réussite des études du DEC Techniques de santé animale mène les diplômés vers l’obtention de postes de techniciens vétérinaires, de techniciens en santé animale ou de préposés aux soins des animaux. Au terme de leur formation, ils auront notamment appris à assister les vétérinaires, à participer à l’établissement de diagnostics ou de traitements des troubles de santé des animaux, à prodiguer des soins aux animaux ou à épauler des chercheurs dans le cadre d’épreuves expérimentales.
Sur le marché du travail, ils trouveront des emplois dans le secteur clinique et dans le domaine de la recherche. Ils pourront aussi travailler dans d’autres organisations comme des animaleries, des refuges pour animaux, des jardins zoologiques ou encore dans l’industrie pharmaceutique.
Professions visées
- Technologues en santé animale et techniciens/techniciennes vétérinaires (3213)
- Soigneurs/soigneuses d’animaux et travailleurs/travailleuses en soins des animaux (6563)
Qualités requises
Afin de suivre avec succès cette formation, les candidats devront d’abord être curieux, concentrés et vigilants et ne pas être allergiques aux animaux. On leur demandera aussi de posséder une bonne dextérité manuelle, un esprit d’analyse développé et un grand sens des responsabilités.
Critères d’admissibilité à la formation
Il faudra satisfaire aux conditions générales d’admission du Règlement sur le régime d’études collégiales et réussir les cours de mathématiques (culture, société et technique) et de science et technologie de l’environnement ou de science et environnement de la 4e secondaire afin d’avoir accès à la formation collégiale en techniques de santé animale.
Particularités régionales
Dans la région montréalaise, on compte environ 600 techniciens en santé animale et 500 travailleurs en soins des animaux. Les opportunités professionnelles sont diversifiées et l’accès à l’emploi est intéressant pour les diplômés du DEC.
De fait, selon les données de l’Enquête Relance 2016 du ministère de l’Éducation, tous les diplômés de Montréal de ce programme étaient soit à l’emploi (65 %), soit aux études (35 %) à la suite de l’obtention de leur diplôme collégial.
Perspectives
Pour ce qui est des perspectives d’emploi des techniciens vétérinaires ou en santé animale, Emploi-Québec les qualifie de favorables dans la région ainsi que dans l’ensemble de la province.
Pour ce qui est du métier de préposé aux soins des animaux, ces mêmes perspectives sont plutôt acceptables et la demande de main-d’œuvre devrait être modérée jusqu’en 2019.
