20 questions horribles à éviter lors de ton entrevue

En rédigeant mon dernier article « Les 7 meilleures questions à poser aux recruteurs », j’ai constaté à quel point ce sujet d’une importance capitale n’est couvert qu’en surface.

Lorsque les intervieweurs demanderont « Avez-vous des questions pour nous? » à la fin de l’entretien, certaines questions peuvent envoyer de mauvais signaux quant à ce que tu valorises. Au final, elles pourraient même te coûter le poste!

Je vais donc traiter de 20 questions qui ne devraient pas être posées afin d’éviter de mal paraître en entrevue d’embauche et t’expliquerai pourquoi il faut de préférence ne pas les poser.

Prends note que je les ai répertoriées du côté francophone de la toile. Après de longues recherches du côté anglophone, je te confirme que ce n’est pas mieux!

Bonne lecture!

Les questions inutiles

Dans cette catégorie, il y a des questions qui sont si évidentes qu’elles ne méritent pas de réponse. Elles feront rouler les yeux des recruteurs.

Pensons à ces questions dont les réponses se trouvent facilement en utilisant Google.

Tu aurais dû faire des recherches sur l’entreprise avant de les rencontrer.

Si tu poses des questions qui démontrent que tu ne les as pas faites, ce sera extrêmement décevant pour tes interlocuteurs.

Par exemple, « Quelle est votre mission? » : cette information se trouve déjà sur leur site web.

Voici d’autres exemples de questions inutiles…

Question #1 : « Quelles sont les prochaines étapes du processus? »

Source : Presque tous les contenus traitant des questions à poser aux recruteurs suggèrent cette question.

Réponse courte et franche : Si tu es retenu, ils vont communiquer avec toi.

Explication : Que ce soit un second entretien, des tests ou une prise de référence, ils t’annonceront l’étape suivante en temps et lieu.

Pour l’instant, utilise le temps des questions à meilleur escient. Les processus d’embauche se ressemblent tous et tu ne devrais pas avoir besoin que les étapes soient décortiquées par ton interlocuteur.

Question #2 : « Qui sera mon gestionnaire direct? »

Réponse courte et franche : Un peu de patience mon ami, tu le rencontreras bientôt (…si tu es retenu).

Explication : Le processus d’entrevue implique toujours le supérieur immédiat. Après tout, c’est son équipe. Il veut avoir le dernier mot sur qui il embauche. Mais attends…

Voulais-tu connaître son identité afin de préparer ton prochain entretien? OK, je comprends mieux. Tu as raison de t’y intéresser. Cependant…

Tente plutôt de le trouver sur LinkedIn après ton échange avec les RH (c’est ce que tu aurais fait de toute façon si tu avais eu son nom).

Les questions intrusives et trop engageantes

Ce type de questions comprend celles qui exigent un développement trop long.

Si ta question exige d’y répondre par des énumérations exhaustives, des explications complexes ou des sous-parties multiples, tu prolongeras l’entretien de façon exagérée et pourrait même retarder les recruteurs en vue de leur prochaine rencontre.

En frôlant la ligne du personnel ou du confidentiel, tu provoqueras également une réponse assez brutale de leur part!

Question #3 : « Avant de vous donner ma réponse définitive, pensez-vous possible que je rencontre l’équipe? »

Réponse courte et franche : C’est peut-être trop demander.

Explication : Admirable que tu veuilles peser cet élément dans la balance avant de prendre une décision importante pour ta carrière. Or, quelques employeurs ne voudront pas acquiescer à ta demande parce que ta présence dans le lieu de travail peut créer une distraction, lancer la machine à rumeur ou générer un risque que ton employeur actuel apprenne que tu t’apprêtes à changer d’emploi.

Il y a donc plusieurs scénarios qui se prêtent mal à rencontrer l’équipe.

Par exemple, un remplacement d’une personne toujours en poste ou la création toujours incertaine d’un poste (le gestionnaire évalue peut-être ses options).

La question n’est pas mauvaise en soi, car elle t’aurait permis de jauger leur niveau d’intérêt. Tu aurais aussi pu prendre une décision plus éclairée au moment d’évaluer l’offre de leur part.

Toutefois, les recruteurs pourraient se voir contraint de te dire « Non. »

Ils s’en sentiront inconfortables et devront trouver une manière te t’expliquer que ce n’est pas une bonne idée de rencontrer l’équipe.

Évite ainsi de les placer dans cette position en leur demandant simplement qu’ils te parlent de l’équipe avec laquelle tu travaillerais.

Question #4 : « Quelles sont les possibilités pour un candidat d’explorer ce poste avant d’accepter l’offre? »

Réponse courte et franche : Explorer le poste? Vraiment??

Explication : Je t’avoue que je ne comprends pas totalement cette question.

Que veut-on dire au juste par « explorer le poste »? Parle-t-on ici d’obtenir une période d’essai?

Si oui, c’est une idée désastreuse!

Écoute-moi bien : si tu veux essayer le poste, surtout ne leur dis pas! Débute l’emploi, évalue ses bons et mauvais côtés. Puis, prends une décision. Une période de probation formelle existe seulement du côté de l’employeur. Mettre un employeur en probation, ça ne se fait tout simplement pas.

Question #5 : « Quel est l’organigramme de l’entreprise? »

Réponse courte et franche : Ce ne sont pas tes affaires!

Explication : Cette question mettra tes interlocuteurs mal à l’aise parce que certaines entreprises préfèrent conserver l’organigramme confidentiel. Ils pourraient même penser que tu es un chasseur de têtes déguisé en faux candidat (oui, ça existe)

Et que dire du temps que ça leur prendra pour y répondre? S’il y a beaucoup de gens dans le service ou l’entreprise, de longues minutes seront nécessaires pour t’expliquer les liens hiérarchiques.

Enfin, quelle est la pertinence? Que voulais-tu accomplir ici?

Exemple #6 : « Quels sont vos principaux clients? »

Réponse courte et franche : Encore ici, ce ne sont pas tes affaires!

Explication : Il y a des entreprises qui aiment se vanter des clients de prestige dans leur portefeuille.

Elles afficheront les logos sur leur site web et des témoignages de satisfaction…Mais d’autres entreprises veulent garder cela secret pour éviter de se faire dérober leurs clients par la compétition. Respecte cette volonté et agis avec prudence en omettant toute question là-dessus.

Les questions négatives

Pas besoin de m’étendre ici : évite de broyer du noir!

De telles questions pourraient communiquer que ta façon de voir les choses est plutôt pessimiste…

Question #7 : « Quel est votre taux de turnover et comment faites-vous pour le réduire? »

Réponse courte et franche : Je vais te donner l’info, mais sans doute à contrecœur!

Explication : Je sais que le taux de roulement et les raisons de départ les plus communes des employés t’intéressent au plus haut point. Après tout, tu t’apprêtes à prendre une décision importante dans ta carrière et tu veux t’assurer de ne pas choisir un employeur qui traite mal ses employés.

Or, le sujet tend sur le négatif, car il est question de gens qui s’en vont. Il pourrait engendrer des souvenirs que tes intervieweurs préfèrent oublier. Ou encore, il provoquera un profond malaise à l’idée de te partager un chiffre qui est influencé par des facteurs incontrôlables, comme les dures réalités de l’industrie ou la situation géographique par exemple.

Ils devront se justifier devant toi et risquent de ne pas apprécier l’expérience.

Question #8 : « De quelle manière la direction fait-elle des retours négatifs aux employés? »

Réponse courte et franche : Parmi les 1001 questions possibles, tu as choisi celle-là?

Explication : Je ne sais pas si un employeur t’a heurté dans le passé, mais c’est tout comme… Cette question envoie le message que les retours négatifs t’inquiètent, peut-être parce que tu t’apprêtes à en recevoir d’autres!?

J’imagine que l’auteur voulait plutôt parler de comment l’entreprise donne de la rétroaction, mais sa formulation est atroce.

Les questions qui transmettent de l’insécurité

Si avant même qu’ils aient pris leur décision, tu cherches à obtenir une rétroaction, on a un problème…

Autrement dit, tu veux leur demander « M’aimez-vous? » et comme tu le verras, c’est une bien mauvaise idée!

En passant, les recruteurs ne sont pas des conseillers en emploi : leur rôle n’est pas de t’aider à améliorer tes compétences de chercheur d’emploi.

Pour ce faire, il y a L’Œil du Recruteur!

Question #9 : « Y a-t-il quelque chose que j’ai dit qui vous fasse douter que je convienne parfaitement à ce poste? »

Réponse courte et franche : Non, mais avec cette question, je commence à me demander si je dois douter!

Explication : En incitant le recruteur à repérer des aspects moins réussis de ta prestation, tu lui fais accorder plus d’importance que nécessaire à des éventuels éléments en ta défaveur.

Lors du debriefing avec le gestionnaire, il aura ces points frais en mémoire, car tu l’auras encouragé à s’en rappeler à la fin de l’échange.

On veut plutôt terminer l’entretien sur une bonne note afin qu’il se rappelle des points positifs au lieu de ceux qui jouent potentiellement contre toi.

Question #10 : « Souhaitez-vous que je vous transmette les coordonnées de mon dernier employeur pour effectuer une prise de référence? »

Réponse courte et franche : Attends que les recruteurs te les demandent.

Explication : Un candidat qui incite l’employeur à contacter ses références communique sans le vouloir de l’insécurité en sa capacité à se vendre lui-même.

Tu ne devrais donc jamais « pousser » tes références et toujours attendre patiemment qu’on te les demande.

Question #11 : « Pensez-vous que mon profil soit en adéquation avec le poste? »

Réponse courte et franche : Oui, car tu as eu une entrevue.

Explication : Si ton profil n’était pas en adéquation avec le poste, tu n’aurai pas été convoqué en entretien.

En fait, ils devraient déjà être vendus sur ton parcours professionnel. Si tu fais bien les choses, tu leur fourniras des exemples qui confirmeront que l’expérience présentée sur ton CV est belle et bien pertinente pour eux.

À toi de faire le reste en les séduisant grâce à ton savoir-être et à ta personnalité.

Question #12 : « Qu’est-ce qui vous a intéressé dans mon CV? »

Réponse courte et franche : Déduis-le toi-même.

Explication : Repère les indices sur ce qui les a allumés grâce à l’enthousiasme suscité par des aspects précis de ton parcours, ainsi qu’à leur non-verbal.

Parfois, ils évoqueront même ces aspects sans que tu ne leurs demandes.

Cette rétroaction aurait de la valeur pour toi, je le sais bien. Tu pourrais notamment mettre ces forces de l’avant dans tes prochaines interactions avec eux, ou les consolider dans des candidatures futures…

Toutefois, quelqu’un qui recherche de telles validations communique implicitement un manque de confiance en ses moyens. Contente-toi de la convocation en entretien pour te valider comme professionnel et chercheur d’emploi.

Bâtis ta confiance là-dessus pour l’instant.

Les questions sur le salaire, les conditions de l’emploi et les avantages sociaux

Il y a cela de positif : la plupart des contenus traitant des questions à poser aux recruteurs s’entendent pour dire que tu dois faire preuve d’une patience inébranlable avant d’aborder les aspects liés à la rémunération.

Cela dit, il y en a quand même quelques questions à cet effet qui se sont glissées dans les suggestions…

Question #13 : « Quels sont les avantages axés sur l’équilibre travail-vie personnelle? »

Réponse courte et franche : Ils se balancent de la relation avec ta conjointe et tes enfants!

Explication : Même si c’est involontaire, ils pourraient tirer la conclusion que tu ne peux pas travailler après 16h00 par exemple, ou que tu t’attends à travailler de la maison 1 ou 2 jours par semaine.

Attends qu’ils traitent eux-mêmes de ces avantages. Comprenons-nous, les employeurs veulent qu’il y ait de l’équilibre dans ta vie, car cela se traduira assurément par une durée plus longue en poste. Mais il est encore trop tôt pour en discuter.

Ou encore, attends que ton pouvoir de négociation soit au maximum, c’est-à-dire lors du dépôt de l’offre. Tu pourras alors t’enquérir des avantages du poste à ce moment et les négocier (si besoin de négocier il y a).

Question #14 : « Quels loisirs avez-vous en dehors du bureau? »

Réponse courte et franche : Je vois…! Un autre fanatique des 5@7!!

Explication : Je t’avoue que ce n’est pas une si mauvaise question, parce que les employeurs sont habituellement fiers de la cohésion de leur équipe et chercheront des occasions de s’en vanter.

Ils savent que les activités extra-professionnelles qu’ils proposent les démarquent de la compétition. Donc oui, tu pourrais leur offrir une belle opportunité d’en parler…

Cependant, le problème ici, c’est le coût d’opportunité. En occupant le temps qui t’est offert avec une telle question, tu perds la chance de poser des questions encore plus pertinentes et impressionnantes.

Quand les activités hors du bureau représentent un sérieux atout, tu remarqueras qu’ils voudront traiter du sujet avant même que tu leur demandes. Rappelle-toi, c’est une fierté pour eux! Laisse-les t’en parler et choisis d’autres questions pour tout de suite.

Question #15 : « Le poste est-il dans un environnement de type open space? »

Réponse courte et franche : Oui, pourquoi? Est-ce un problème?

Explication : Très dangereux de demander cela!

Sois tu vas passer pour quelqu’un qui recherche un loft où tu peux te déplacer en skateboard…

Sois tu enverras le message que tu as déjà œuvré dans un tel environnement et que c’était trop bruyant à ton goût, que ta concentration s’en est trouvé affectée.

Une chose est sûre : ils risquent de se demander pourquoi tu poses la question.

Question #16 : « Quelle sera la fréquence de mes déplacements? »

Réponse courte et franche : Attends avant de le demander.

Explication : Comme les points précédents, prends note qu’il y a un meilleur moment pour parler des avantages de l’emploi. J’ai nommé le dépôt formel d’une offre à ton attention.

Quand tu seras bel et bien désiré, tu pourras poser toutes les questions que tu veux, incluant celles relatives aux déplacements fréquents.

Les questions qui démontrent une faiblesse

Il y a des questions qui prouvent hors de tout doute que tu n’es pas à niveau sur une compétence exigée par le poste, et que ça t’inquiète. Sinon, pourquoi le demander?

Question #17 : « L’anglais est-il une langue de travail quotidienne? »

Réponse courte et franche : Oui, l’anglais est commun ici, do you speak English?

Explication : Ceux qui sont à l’aise en anglais ne posent pas cette question, car ils savent qu’ils peuvent se débrouiller dans n’importe quel contexte anglophone.

Les recruteurs enchaîneront probablement avec des questions en anglais, car tu viens de semer le doute dans leur tête. Imagine que tu sois passé au travers de l’entretien sans avoir à te soumettre à cet exercice. Tu viens de leur rappeler qu’ils ont oublié de t’interroger dans la langue de Shakespeare!

Are you ready to answer some questions in English now?

Les questions statiques

Je n’y avais pas pensé au départ, mais je suis tombé sur cet article avec lequel je suis bien d’accord. L’auteur déconseille les questions statiques, c’est-à-dire des questions à réponse courte qui enferment les interlocuteurs dans un mode « question-réponse ».

Question #18 : « Combien y a-t-il d’employés dans votre service? »

Réponse courte et franche : Voilà ta réponse. Maintenant que rétorques-tu?

Explication : Ce type de question se prête mal au développement du côté des recruteurs et rend une discussion subséquente bien difficile, à moins que tu sois très à l’aise pour t’exprimer dans n’importe quelle situation et en mesure de faire du millage sur ce qu’ils te répondent.

Autrement, si tu es moindrement nerveux en entrevue, tu pourrais être pris au dépourvu.

Cela se traduira par un silence malaisant ou un simple « OK » suite à leur réponse.

Les questions de vendeur d’autos usagées

Qu’est-ce que je veux dire au juste par des questions de vendeur d’autos usagées?

Tu comprendras mieux en lisant les exemples suivants…

Question #19 : « Avez-vous des hésitations quant à mes qualifications? »

Réponse courte et franche : Oui, j’ai des hésitations, mais je ne te les dévoilerai pas!

Explication : Je comprends le but ici consistant à cibler les objections et à les contrer une par une. C’est une méthode de vente classique.

Or, les vendeurs doués ne demanderont jamais directement au client quelles sont ses objections.

D’une part, ils les prévoient et développent leur argumentaire en réfléchissant à toutes celles susceptibles de surgir.

D’autre part, ils tentent de « lire » leur interlocuteur (d’analyser ses réactions) et de le rassurer en temps réel.

Question #20 : « Ai-je répondu à toutes vos questions? »

Réponse courte et franche : Oui, sinon j’aurais prolongé l’échange.

Explication : J’aurais aussi pu classer cette question dans les catégories des inutiles.

Tu n’as pas besoin de demander cela.

S’ils ont d’autres questions, tiens pour acquis qu’ils te les adresseront.

Profite de la fin de l’entrevue pour choisir 2 questions à plus grande valeur ajoutée.

Conclusion : 3 trucs secrets!

Je termine sur une note constructive en t’invitant à consulter les meilleures questions à poser en entrevue.

Et pour t’inspirer encore davantage, je te livre 3 trucs pour transformer une question moyenne en une excellente question :

  1. Méthode de la supposition: tu pourrais demander par exemple « Quel est votre avantage par rapport à la concurrence?», mais tu peux faire encore mieux! Risque-toi sur une affirmation qui incite à la discussion. Même si tu te trompes, rien de dramatique! Ils apprécieront ton écoute et corrigeront ton affirmation au besoin. Par exemple, formule le tout de la façon suivante « De ce que j’entends aujourd’hui, votre avantage majeur par rapport à la concurrence semble être… Ai-je raison? »
  2. Méthode de la consultation: N’attends pas d’être en poste pour prouver ta valeur. Dès l’entrevue, donne-leur des conseils stratégiques tel un consultant. Utilise des questions appropriées pour faire cheminer tes interlocuteurs sur des solutions. Par exemple, « À propos des défis dont vous m’avez parlé tout à l’heure, avez-vous envisagé le logiciel ABC? La stratégie XYZ?»
  3. Méthode du rebond(provient du coach en emploi Yves Gautier) : Sers-toi d’une information qui t’a été livrée précédemment pour introduire ta question. Cela permettra de rendre la conversation plus fluide et naturelle. Par exemple « J’ai cru comprendre que la priorité de ce rôle était de rassembler les gestionnaires de projets autour d’une vision commune, avez-vous déjà commencé à implanter des stratégies qui vont en ce sens? »

Tu crois peut-être que les questions qui se répondent par « Oui » ou « Non » sont inappropriées, mais ce n’est pas nécessairement le cas.

En utilisant les méthodes ci-dessus, les recruteurs comprendront bien que tu t’attends à ce qu’ils développent davantage. Sinon, utilise un silence bien placé ou ton non-verbal pour signifier que tu espères une réponse plus détaillée.

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Sources :

« Avez-vous des questions ? : 15 questions à poser au recruteur en entretien ! » sur L’Empire Contre-Un-Taff
« Voici les meilleures questions à poser à la fin d’un entretien d’embauche » sur Business Insider
« Quelles questions poser en fin d’entretien d’embauche ? » sur Cadremploi
« Avez-vous une question à me poser ? > voir ci-dessous une liste de 65 questions à poser en entretien ! » sur Questions d’emploi
« 45 questions à poser lors d’un entretien d’embauche » sur Glassdoor
« Avez-vous des questions ? Que répondre à cette question en entretien d’embauche ? » sur Profil Search

 

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