Galerie photos : Des travailleurs et leur mine équitable, en Bolivie

Des images de la coopérative Cotapata.

La coopérative de Cotapata est l’une des trois mines d’or exploitées dans le parc national du même nom. Ce dernier s’étend sur 40 000 hectares et ses sommets dépassent les 5 000 mètres. À droite, le câble du téléphérique, seule manière de transporter minerai et équipement. Photo : Valerian Mazataud
La coopérative de Cotapata est l’une des trois mines d’or exploitées dans le parc national du même nom. Ce dernier s’étend sur 40 000 hectares et ses sommets dépassent les 5 000 mètres. À droite, le câble du téléphérique, seule manière de transporter minerai et équipement.
Photo : Valerian Mazataud


L’entrée de la mine de Cotapata. Les rubans de couleur sont une forme d’offrande à la terre mère, Pachamama, pour porter chance aux mineurs. La végétation luxuriante témoigne du climat très humide des lieux. Dans les galeries, l’eau perle au plafond. Photo : Valerian Mazataud
L’entrée de la mine de Cotapata. Les rubans de couleur sont une forme d’offrande à la terre mère, Pachamama, pour porter chance aux mineurs. La végétation luxuriante témoigne du climat très humide des lieux. Dans les galeries, l’eau perle au plafond.
Photo : Valerian Mazataud


Un mineur achève sa journée de travail à 16 h, alors que d’autres commencent la leur. La plupart des mineurs vivent ici durant 12 jours avant de rejoindre leur famille à La Paz pour 3 jours. Photo : Valerian Mazataud
Un mineur achève sa journée de travail à 16 h, alors que d’autres commencent la leur. La plupart des mineurs vivent ici durant 12 jours avant de rejoindre leur famille à La Paz pour 3 jours.
Photo : Valerian Mazataud


Il est 16 h. Un mineur vient de commencer sa journée de travail, qu’il ne terminera qu’à minuit.  Photo : Valerian Mazataud
Il est 16 h. Un mineur vient de commencer sa journée de travail, qu’il ne terminera qu’à minuit.
Photo : Valerian Mazataud


La mine possède sa propre usine de traitement, capable d’engloutir plus de deux tonnes de roches à l’heure. Cet ouvrier s’assure que le moulin à broyer n’est jamais bloqué. Photo : Valerian Mazataud
La mine possède sa propre usine de traitement, capable d’engloutir plus de deux tonnes de roches à l’heure. Cet ouvrier s’assure que le moulin à broyer n’est jamais bloqué.
Photo : Valerian Mazataud


Certaines roches doivent être triées manuellement, tâche à laquelle cet ouvrier est affecté.  Photo : Valerian Mazataud
Certaines roches doivent être triées manuellement, tâche à laquelle cet ouvrier est affecté.
Photo : Valerian Mazataud


Gourmette fabriquée avec l’or de la mine, portée par l’un des directeurs de la coopérative. Au bout de presque trois ans de certification, Cotapata n’est parvenue à écouler qu’un maigre 1 % de sa production sur le marché du commerce équitable, soit à peine 1,5 kg (le reste – près de 148 kg – est vendu sur le marché noir). Photo : Valerian Mazataud
Gourmette fabriquée avec l’or de la mine, portée par l’un des directeurs de la coopérative. Au bout de presque trois ans de certification, Cotapata n’est parvenue à écouler qu’un maigre 1 % de sa production sur le marché du commerce équitable, soit à peine 1,5 kg (le reste – près de 148 kg – est vendu sur le marché noir).
Photo : Valerian Mazataud


Une partie des membres de la direction de la coopérative est réunie. Plusieurs d’entre eux travaillent à la mine.  Photo : Valerian Mazataud
Une partie des membres de la direction de la coopérative est réunie. Plusieurs d’entre eux travaillent à la mine.
Photo : Valerian Mazataud

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• Bolivie : De l’or équitable, vraiment?

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