Vous croyez pouvoir revendiquer le salaire de P.K. Subban? Très bien, mais sachez toutefois que vous devrez prouver que vous le méritez! B-a ba de la négociation salariale.
- Considérez une offre de salaire comme le prix d’un poste et non comme un prix qu’on vous appose en tant que personne. En d’autres termes, ne prenez pas les choses de façon personnelle!
- Pour obtenir davantage, il est important de pouvoir démontrer sa valeur. En plus du CV, une liste de ses accomplissements professionnels constitue un excellent outil. La demande doit s’appuyer sur des réalisations qui inspirent confiance.
- La question de la rémunération ne devrait être abordée qu’à la fin de la rencontre avec l’employeur potentiel. Dans la mesure du possible, laissez l’employeur se commettre avant vous, pour voir ce qu’il est prêt à vous offrir.
- Demandez un peu plus que ce que vous espérez obtenir. Si vous désirez 35 000 $, demandez 38 500 $, ou 40 000 $ pour les plus téméraires! Spécifiez que c’est négociable, selon les avantages sociaux qu’on vous offrira.
- Soyez clair et convaincant. Avec l’employeur impulsif ou celui qui manque d’écoute, vous étayerez vos arguments de façon concise. Avec un indécis, présentez une demande structurée. Il ne lui restera qu’à dire oui ou non!
- Discutez dès maintenant des autres avantages (fonds de retraite, horaires, assurances, vacances, etc.). Certaines de vos demandes pourraient ne rien coûter à l’employeur!
- Ne répondez pas immédiatement à une offre. Notez ce que l’employeur est prêt à changer et ce qui n’est pas négociable, puis demandez une période de réflexion.
- L’offre vous déplaît carrément? Lors du rappel, mentionnez votre plancher salarial. Encore un refus? Remerciez l’employeur et poursuivez votre recherche d’emploi.
- Demeurez ferme, mais souple. Vous pouvez accepter une offre inférieure à vos attentes, mais seulement avec promesse écrite (et claire!) de révision après une période d’essai.