L’échange de cadeaux

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Le temps des fêtes approche et la sphère professionnelle n’est pas épargnée.

En plus de trouver une tenue suffisamment festive pour le party de Noël et d’utiliser vos dernières ressources d’énergie avant les vacances à manger des petits fours et boire des cocktails avec les collègues, il faudra bientôt affronter le spectre de l’échange de cadeaux du bureau.

Quelques conseils et observations pour s’en tirer en parfait père Noël :

  • En théorie, tout le monde a hâte à l’échange de cadeaux du bureau. En pratique, rares sont ceux qui sont vraiment heureux de repartir avec une petite bouteille de Kahlua, un mini-poinsettia ou un chèque-cadeau de 12 $ de Bureau en gros.
  • Immanquablement, au moins une personne recevra un cadeau vaguement cochon et clairement gênant. Généralement, il s’agit du fatigant du service des ventes qui embarrasse tout le monde avec les détails de ses prétendues prouesses sexuelles.
  • Dépasser de quelques dollars le montant limite fixé entraîne automatiquement un sentiment de cheapitude chez tous les autres participants. Le dépasser largement dégage de l’arrogance.
  • À éviter absolument : la lingerie (message : «J’ai envie de toi, beubé»), le parfum (message : «Tu pues»), tout article avec le logo de la compagnie (message : «Je me suis rappelé de l’échange il y a cinq minutes»), de l’argent (message : «Je me prends pour un travailleur de la construction»).
  • Même dans le cadre d’un échange, offrir un cadeau au patron vous donne un peu l’air du téteux qui essaie de s’acheter des faveurs. Quand on pige le boss, mieux vaut errer du côté de la banalité et offrir une tasse à café ou un calendrier.

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