Le voyage d’affaires 101

Vous entendez «voyage d’affaires» et vous pensez : contrée lointaine, grande ville, hôtel luxueux et repas fins, le tout sur le bras de la compagnie?

On a des petites nouvelles pour vous : la réalité risque davantage de ressembler à trois jours dans un centre de congrès en banlieue de Mississauga, à manger l’équivalent ontarien du St-Hubert. En plus, en terrain inconnu (aussi peu dépaysant soit-il), les occasions de se mettre les pieds dans les plats sont légion.

  • C’est toujours quand on se dit qu’on finira notre présentation dans le train/à l’aéroport que le réseau Wi-Fi connaît des ratés.
  • Passer les trois premiers jours des vacances dans les mêmes chaussettes parce que la compagnie aérienne a égaré la valise, c’est moche. Se pointer à une réunion importante dans la chemise froissée d’hier, c’est la catastrophe! Mieux vaut avoir un minimum de vêtements et une brosse à dents dans
    le bagage à main.
  • C’est bien connu : une des meilleures façons de minimiser les effets du décalage horaire est de s’abstenir de boire de l’alcool et même de manger dans l’avion (les experts recommandent de jeûner pendant 16 heures avant l’arrivée à destination). Mais une fois assis, l’attrait des mini-bouteilles de vin et du poulet trop cuit est mystérieusement dur à ignorer. 
  • Même avec un bon forfait de données à l’étranger et les meilleurs trucs pour maintenir les frais d’itinérance à un niveau raisonnable, le retour s’accompagne toujours d’une facture de cellulaire bien salée.
  • En cas de voyage avec le patron, les sorties nocturnes et les séances d’entraînement matinales côte à côte peuvent créer un sentiment de familiarité. Attention! Mieux vaut se garder une petite gêne et se retenir de proposer un dernier scotch dans la chambre.

D’autres conseils :

• Négocier son salaire comme un pro
• Déclarations de revenus par des bénévoles

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