Le savoir-vivre dans l’ascenseur

ascenseur

Pour certains, l’ascenseur est un lieu exigu, inconfortablement partagé avec des étrangers. Pour d’autres, il sert de décor à de torrides fantasmes (merci, Liaison fatale).

Et pour beaucoup de travailleurs, l’ascenseur c’est simplement l’endroit où s’écoulent les dernières minutes avant de mettre les pieds au bureau.

Conseils et observations pour minimiser les irritants.

  • Retenir ou pas l’ascenseur? Tout est une question de distance. Pour quelqu’un à quelques pas de la porte, c’est chic. Pour le gars à l’autre bout du corridor, qui se voit du coup obligé de sprinter sur 150 mètres avec une pile de documents dans les bras, ce l’est moins.
  • C’est bien connu, les murs ont des oreilles. Et ceux des ascenseurs ne font pas exception. Mieux vaut éviter les conversations délicates ou douteuses, à moins de vouloir se retrouver sur un site Web du genre «Entendu dans l’ascenseur» (comme le compte ICI L’ascenseur sur Twitter).

C’est toujours quand on est pressé qu’on tombe sur une série de ploucs qui prennent l’ascenseur pour bouger d’un seul étage. Ce qui fait que, même si on sait que ça ne donne rien, on appuie à répétition sur notre bouton de destination. Sauf que, on le répète : ça ne donne rien, donc à éviter. Ça empêche les autres passagers de se concentrer sur leurs pensées plus profondes.
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